Volume polyphasique est une pièce constituée de gravas de ciment blanc qui me servent à proposer des installations in situ.
J'ai produit une série de photographies en manipulant une sélection de morceau, comme des suggestions de présentation paysagère blanches - monolithiques, archéologiques ou géologiques -
https://pauline-repussard.weebly.com/volumes-polyphasiques.html
Dans mes installations on perçoit partout l’empreinte et l’impact de l’humain qui
contemple, s’interroge, se raconte, crée et produit des traces. Comment survivre?
Comment perdurer?
La notion de civilisation est au coeur de mes projets, je l’intègre de part ses capacités de renouvellements et de mutations dans des cycles naturels d’évolutions des paysages, qu’ils soient extérieurs, intérieurs ou mentaux.
Peu importe la distance, peu importe le temps.
Je déploie un large spectre de relations dynamiques, tisse des liens entre matières et vies, entre l’humain et son environnement. Relier les informations comme des stimuli me permet de troubler ce qui distingue la fiction de l’histoire.
« Elle construit des espaces allusifs qui bousculent notre perception de l’échelle et de la matérialité du monde : ses micro-univers semblent déposer à nos pieds et suspendre au-dessus de nos têtes des éclats prélevés à quelque sphère cosmique. » A.G-S
L’Institut Supérieur des Beaux Arts n’avance guère sans mémoire car celle-ci s’incarne dans un exemple du patrimoine du XXème siècle. Le logo vert d’inspiration moderniste, fruit des cogitations d’anciens élèves, rends hommage à notre bâtiment issu des réflexions de Josep Lluis Sert. Le savant jeu de construction de blocs et de plans coupés est peuplé toute l’année durant d’événements qui tous concourent à votre formation: cours, conférences, workshops, expositions, festivals. Autant de modalités différentes d’une pédagogie active d’accompagnement. L.D